Au quotidien, la cuisine selon les saisons, les vins selon l'humeur, la littérature qui va avec, les bistrots et les restaurants, les boutiques qui nourrissent le corps et l'esprit, bref tous les plaisirs de bouche et de l'âme.
20 Août 2016
La grande spécialité à Donostia, c’est quand même d’aller de bar à tapas en bar à tapas. C’est le sport local. Mais est-ce que cela compte vraiment comme sport ? Il faudrait que l’ami Jacques Berthomeau disserte une fois sur le sujet, lui qui cite aujourd’hui un de mes papiers sur le thème « De l’addition au restaurant… » en commençant ainsi : « La douloureuse… Le camarade Roger Feuilly qui sait se tenir aussi bien au comptoir qu’à table, adepte de la nappe à carreaux assortis, grand amateur de gras et de liquides qui vont avec, une référence quoi, écrit dans «Tout n’est que litres et ratures» (s’il te plaît Jacques, et non «Tout est litres et ratures »)… la suite à lire sur son blog, www.jacquesberthomeau.com.
Bref, au comptoir de la «Casa Vallés» et «Garbola» à propos desquels j’ai déjà livré mon opinion sur ce blog, en passant par «Antonio», «Narru», «La Espiga» et «San Marcial»*, voire même d’autres bars, la règle qui s’applique, c’est la modération des additions qui, partout, sont légères comme une plume au vent. Trois verres (deux de Txakoli et un de Crianza) et trois pintxos d’anchois pour un total de 12,60 € (preuve à l’appui avec photo du ticket de caisse chez «Antonio»), on ne peut qu’applaudir. De même, quand la bouteille de Mumm Cordon Rouge est facturée 37 € au bar de l’hôtel de luxe «Londres y de Inglaterra» (lire mon article récent). Un exemple que devrait suivre les bistrotiers français. Bon appétit et large soif… à Donostia !
*Articles à venir.